L’homme modifie chaque jour l’intégrité de la planète et participe à des bouleversements majeurs de son écosystème. Le plastique joue malheureusement un rôle important dans cet aspect.
En se décomposant, les plastiques libèrent des substances potentiellement toxiques et génèrent des micro particules de plastiques qui se retrouvent dans les océans, dans les estomacs des animaux marins, et tout au long de la chaine alimentaire (poissons, oiseaux….).

Pionnier dans l’écobiologie, Naos cherche à réduire son impact « plastique » sur la planète tout en reconnaissant que l’emballage est un lien identitaire fort entre une marque et ses utilisateurs.
Pour cela Naos s’est engagé à :
- Privilégier les emballages conçus de façon à être totalement recyclables,
- Intégrer des plastiques recyclés ( Post Consumer Recycled ) dans ses emballages, tout en s’assurant de l’innocuité de ces plastiques afin de préserver ses formules
- Privilégier des produits de grande contenance, afin d’avoir des ratios WCR (Weight Content Ratio) les plus élevés possible.
- Réduire le poids de ses emballages à contenance donnée
- Privilégier les emballages primaires uniques et supprimer les suremballages plastiques autant que possible,
- Utiliser des étuis cartons labellisés FSC (Forest Stewarship Council) et/ou biodégradables,
- Envisager l’utilisation de plastiques biosourcés de seconde génération, c’est-à-dire issus de déchets de ressources végétales renouvelables.
- Réfléchir au développement de systèmes rechargeables
Par ailleurs, certains microplastiques sont utilisés dans des formulations cosmétiques pour leurs propriétés exfoliantes (contribution potentielle du secteur cosmétique européen entre 0,01% et 1,5% du montant total des déchets plastiques en 2012*).
Les engagements de NAOS
Afin de lutter contre cette menace, Naos s’est engagé à :
- Ne pas mettre sur le marché des produits rincés utilisant des billes plastiques,
- Ne pas utiliser de billes plastiques dans ses formules (rincées ou non rincées)
- Progressivement éliminer les billes plastiques de tous ses produits cosmétiques en les remplaçant par des billes fabriquées à partir de noyaux d’abricot par exemple.
*Goin et al., Use of micro-plastic beads in cosmetics products in Europe and their estimated emission to the north sea environment, SOFW Journal, 141(3), 40-46, 2015